Annexite : traitement naturel avec SANTE AFRICAINE

L’annexite est l’une des nombreuses maladies capables de provoquer l’infertilité chez la femme. Traduisant une inflammation des annexes utérines, cette maladie se contracte principalement par voie sexuelle. Elle provoque ensuite d’énormes dégâts, tant sur l’organe génital que sur l’organisme de façon générale. Cet article traitement heureusement de ce qu’est cette maladie inflammatoire ainsi que la solution naturelle pour la traiter efficacement.

Qu’est-ce que l’annexite ?

L’annexite, ou maladie inflammatoire pelvienne est un terme faisant référence à une inflammation des annexes de l’utérus. Ces annexes qui ne sont rien d’autre que les trompes de Fallope et les ovaires.

Plus loin, une inflammation des trompes de Fallope traduit une infection génitale du nom de salpingite. Parlant de l’infection des ovaires, on fait référence à l’ovarite. L’annexite peut donc être également définie comme la combinaison de deux maladies concernant des affections qui touchent les annexes de l’utérus. Ainsi, en fonction de l’annexe de l’utérus touchée par une inflammation, on sait alors le terme adapté pour désigner convenablement l’affection.

Pour l’inflammation des annexes de l’utérus (ovaires et trompes de Fallope), il convient de distinguer deux différentes formes. Il s’agit de forme aigüe et de la forme chronique. La forme aigüe est la plus fréquente de la maladie. La forme chronique, quant à elle, est plus rare, car elle n’apparaît qu’en absence de traitement de la forme aigüe de la maladie. Mais, bien que l’affection soit principalement d’origine bactérienne, il existe des causes bien plus précises encore.

Causes de la maladie

L’annexite est une inflammation d’origine bactérienne. Il s’agit notamment des chlamydias responsables des infections sexuellement transmissibles. De nombreuses souches de bactéries comme les gonocoques, un virus ou les microbes peuvent également causer une annexite. Ces organismes pénètrent l’organe reproducteur féminin, notamment à travers les rapports sexuels non protégés avec des personnes déjà infectées.

Après pénétration, ces organismes migrent progressivement dans les trompes de Fallope et les ovaires en passant bien sûr par le vagin. Elles s’implantent ensuite et prolifèrent rapidement en causant une inflammation caractéristique de l’infection. Le fait de disposer de plusieurs partenaires sexuels accentue d’ailleurs le risque de contracter une annexite.

Il est également possible de contracter une annexite à la suite d’une infection ayant affecté la région abdominale. Ainsi, les maladies chroniques intestinales, l’appendicite et la péritonite par exemple représentent des causes d’une annexite. Cela peut en réalité être effectif dans le cas où ces infections ou maladies abdominales progressent jusqu’à atteindre l’organe génital féminin.

Symptômes de cette inflammation des annexes utérins

L’annexite se caractérise par une inflammation des ovaires et des trompes de Fallope. Cette inflammation est due à la prolifération des microbes, bactéries ou virus au niveau de ces annexes. L’action de ces micro-organismes virulents entraine généralement des répercussions non seulement sur l’organe reproducteur, mais aussi sur l’ensemble de l’organisme.

Au niveau de l’organe reproducteur, l’annexite entraîne des pertes blanches et un dérèglement de la fonction menstruelle. Cela se remarque en effet par l’allongement ou le raccourcissement des cycles menstruels dans certains cas. Dans d’autres cas par contre, ces troubles menstruels se manifestent par une hypoaménorrhée (règles très peu abondantes) ou une hyperménorrhée.

En cas d’annexite, la menstruation est souvent accompagnée de fortes sensations de douleurs localisées au niveau du bas-ventre. Cette douleur peut ensuite remonter au niveau de la partie inférieure de l’abdomen.

Les symptômes de cette maladie inflammatoire pelvienne se remarquent également de façon générale. On note entre autres :

• une fatigue générale avec une sensation de faiblesse ;

• la migraine ;

• des troubles digestifs ;

• la cystite ;

• des sensations de frissons, etc.

L’inflammation des trompes de Fallope et des ovaires peut également être une cause de l’infertilité féminine, la conséquence la plus grave de l’annexite.

Diagnostic

Le diagnostic de la maladie commence généralement par une série de questions posées par le gynécologue à la patiente. Ces questions serviront notamment à collecter des informations sur la vie sexuelle ainsi que les antécédents médicaux de la patiente.

Ensuite, il sera question de procéder à un examen vaginal abdominal. De cette façon, on arrive à localiser précisément la douleur.

En guise d’étude de la microflore, des prélèvements de tampon seront effectués au niveau du vagin et de l’urètre. Cette étude permettra d’identifier l’agent responsable de l’inflammation des annexes utérins. De cette façon, il sera alors plus simple de recommander le traitement adéquat pour guérir de la maladie.

Traitement naturel de l’annexite

Le recours aux antibiotiques est beaucoup plus recommandé pour traiter efficacement une annexite. Ce suivi médicamenteux est destiné à éliminer les bactéries présentes dans l’organisme afin de ramener les annexes utérines à la normale.

Mais à défaut des médicaments, il est préférable de se tourner vers les ressources naturelles. Il est question de certaines plantes médicinales riches en puissants antibiotiques et anti-inflammatoires. Le centre SANTE AFRICAINE a d’ailleurs utilisé ces différentes plantes afin de produire des remèdes incroyablement efficaces.

L’annexite est une maladie inflammatoire pelvienne traduisant une inflammation de la trompe de Fallope et des ovaires. Le traitement efficace de cette maladie passe par l’utilisation de plantes médicinales.

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