L’infection urinaire est le plus souvent des infections de la vessie, également appelées cystites. Dues à des bactéries, elles touchent plus souvent les femmes que les hommes car leur urètre, le canal qui relie la vessie à l’extérieur, est plus court. L’entrée de bactéries dans la vessie s’en trouve facilitée.
Symptômes d’une infection urinaire.
Les symptômes sont variables mais parfois les patientes se plaignent d’un besoin d’uriner trop fréquent, de l’impériosité de ce besoin, de douleurs dans la vessie. Une douleur dans les lombaires, symétrique à droite et à gauche, peut également être ressentie. Tous ces signes sont le résultat de l’inflammation de la vessie. L’infection, elle, peut provoquer une sensation de brûlure en urinant. «Dans 20 % des cas, du sang est présent dans les urines mais il ne s’agit pas d’un signe de gravité». Il faut consulter rapidement si une fièvre de plus de 38° apparaît, si la douleur est franchement d’un seul côté . Si la patiente est enceinte, si on est un homme et si l’on a subi une intervention chirurgicale depuis moins d’un mois.
Comment se fait le diagnostic ?
Le diagnostic repose sur les signes cliniques et peut être confirmé par un test sur bandelette urinaire. Il doit être fait après avoir éliminé un premier jet d’urine pour entraîner les bactéries toujours présentes autour du méat urinaire. Ce test détecte la présence de nitrites et de leucocytes, indicateurs de la présence d’une infection. L’utilisation d’un ECBU (examen cytobactériologique des urines) n’est pas recommandée dans les infections urinaires non compliquées, de même qu’un examen sanguin. En effet après le diagnostic , la sante africaine vous recommande vivement ce produit pour une guérison définitif .
Comment se traite une infection urinaire?
Ici il s’agit d’un traitement naturel sur une durée allant deux à trois mois .Noté donc que ce traitement guérir le mal depuis sa racine et donc définitivement . L’objectif est de ne pas favoriser l’apparition de résistances aux antibiotiques, de plus en plus fréquentes.
Quelques recettes pour prévenir et supprimer les risques d’une cystite .
Augmenté la prise d’eau journalier
Si vous avez une cystite, un des premiers gestes à adopter, c’est de boire, beaucoup, beaucoup ! En effet, vous hydrater abondamment va permettre de laver la vessie et d’évacuer plus rapidement les bactéries responsables de la cystite.
Se familiarisé aux jus de fruits .
Vous pouvez boire aussi du jus de canneberge sans sucre ajouté pour réduire les symptômes, mais aussi les risques de récidives. Le jus de canneberge contient du D-mannose, un élément qui empêche les bactéries de s’accrocher aux parois de la vessie et aide à leur évacuation. En consommer régulièrement réduit le nombre de récidives (à partir de 4 par an, on parle de cystite récidivante).
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Vous pouvez aussi vous procurer du D-mannitol en boutique bio. Il pourrait réussir là où les antibiotiques échouent à faire cesser les récidives. Les dosages recommandés sont le 2 mg durant 3 mois, mais l’avis de votre médecin reste déterminant !