Un accident vasculaire cérébral est provoqué par l’obturation d’un vaisseau sanguin dans le cerveau à cause d’un caillot de sang (80% des cas) ou par la rupture d’un vaisseau sanguin à l’intérieur du cerveau entraînant une hémorragie (20% des cas). AVC traitement naturel . Les conséquences peuvent être dramatiques avec un défaut d’apport d’oxygène et glucose aux cellules du cerveau, pouvant aboutir à leur destruction, source de séquelles neurologiques.
Poids | 50g |
Compositions | Sécuridaca, tetrapleura, gongoli, adansonia, lannea acida, xylophia, fagara, acacia nilotica, crateva , morinda, naucléa,kaya ficus, senegalensis,monodora, carissa edulis, etc |
Propriétés | Absorbant, dépuratif, antibiotique |
Principes actifs | -Tanins astringents et absorbants, hétérosides anti-inflammatoires et anti-fibrinolytiques, stérols, etc |
Présentation | poudre en sachet ou en pot |
Mode d’emploi | Lire la notice |
Effets secondaires | Goût amère |
Durée du traitement | 3 mois renouvelables avec 12 tisanes |
Prix | 30 euros |
Si vous souhaitez appeler un de nos experts pour de plus ample informations sur une maladie, alors contactez le +330756892193.
En outre, si vous désirez une recette de plante pour traiter une maladie particulière, cliquez sur JE VEUX UNE RECETTE Voudriez-vous faire une commande ? Cliquez sur LIVREZ-MOI |
Description AVC traitement naturel
L’accident vasculaire ischémique, ou infarctus cérébral, représente plus de 80 % des accidents vasculaires cérébraux. Un AVC ischémique est provoqué par l’interruption de la circulation sanguine cérébrale dans le cerveau par un caillot. Soit le caillot se forme localement dans le cerveau, soit il provient d’une artère plus éloignée. Dans ce second cas, le caillot se détache d’une plaque d’athérome, c’est-à-dire d’une couche de graisse qui s’accumule sur la paroi d’une artère. Le caillot peut provenir d’une artère du cou ou se former dans un recoin d’une cavité du cœur dans le cas d’une pathologie cardiaque.
L’accident vasculaire cérébral hémorragique, aux conséquences plus sévères, concerne 20 % des accidents vasculaires. Un accident vasculaire hémorragique est provoqué par un saignement à l’intérieur du cerveau, inondant le cerveau. « Il peut être lié à une rupture d’anévrisme, qui correspond à une dilatation d’une artère« , explique le Dr Bertrand Lapergue, chef du service de neurologie de l’Hôpital Foch (Suresnes). La rupture d’anévrisme est responsable de 50 % des AVC entraînant la mort chez les jeunes personnes (de moins de 45 ans). Une malformation des vaisseaux sanguins du cerveau, présente le plus souvent dès la naissance, augmente les risques d’AVC hémorragique. L’hypertension artérielle ou un traumatisme peut provoquer un saignement dans le cerveau.
À quel âge survient l’AVC ?
L’âge moyen de survenue d’un AVC est 74 ans (Quel que soit le sexe) mais près de 25% des AVC surviennent avant 65 ans et le taux de patients « jeunes » hospitalisés pour un AVC croît chaque année avec des augmentations importantes entre 35 et 64 ans. Chez les moins de 18 ans, l’AVC reste rare, moins de 1%.
Quels sont les symptômes de l’AVC ?
L’AVC frappe sans prévenir un Français toutes les 4 minutes et risque de se reproduire chez 30 à 40% des patients dans les 5 anssuivant le premier AVC. Alors, pour réduire au maximum les risques de séquelles, voire de décès, il est indispensable de connaître les signes d’un AVC et d’appeler le 15 sans attendre :
- Une paralysie, une faiblesse ou un engourdissement d’une partie ou de la moitié du corps
- Une déformation de la bouche,
- Des difficultés à parler
- Une perte de la vision d’un œil
- Des troubles de l’équilibre, de la coordination ou de la marche
- Un mal de tête très fort inhabituel
Les 4 symptômes typiques de l’AVC
Toutes les 4 minutes, une personne fait un AVC en France. Perte de la vision, bras qui ne bouge plus, difficultés à parler, articuler… Voici les premiers signes pour appeler le 15 au plus vite.
Ce sont les symptômes les plus fréquents, mais il en existe d’autres. Contrairement à l’infarctus du myocarde qui se caractérise par une douleur dans la poitrine bien spécifique, l’AVC peut en effet se manifester différemment, selon la région du cerveau qui souffre.
Quelles sont les conséquences d’un AVC ?
L’accident vasculaire crée un barrage au niveau d’une artère. Le sang ne passe plus et l’artère ne peut plus irriguer correctement le cerveau afin de lui apporter les éléments nécessaires à son fonctionnement, comme l’oxygène ou le sucre. Résultat, la zone se mortifie, c’est-à-dire que les cellules de la zone concernée meurent progressivement. Les séquelles sont variables selon la zone touchée. En France, environ 2 patients sur 3 présentent des séquelles après un AVC. La gravité des troubles varie selon les cas. Les séquelles les plus fréquentes sont les troubles de l’équilibre et de la mémoire.
Accepter son corps diminué, affronter les difficultés du quotidien, se sentir envahissant pour les proches… Au-delà du handicap physique, il faut aussi faire face à une souffrance psychique. De ce fait, les dépressions ne sont pas rares. Le danger, c’est bien sûr qu’elles soient des freins à la récupération. Un soutien psychologique, aussitôt que possible, est très utile pour surmonter l’épreuve. Il permet d’évacuer angoisses et sentiments négatifs. Même en cas de troubles de la parole, les psychologues peuvent intervenir via d’autres moyens de communication.
Qu’est-ce que la thrombectomie ?
Une nouvelle méthode nommée thrombectomie peut être envisagée si une grosse artère est obstruée. Elle consiste à extraire le caillot au moyen d’un filet miniature (stent) sans ouvrir le cerveau en passant le matériel par les artères depuis l’aine. La thrombectomie peut être pratiquée jusqu’à 24 heures après l’apparition des premiers symptômes, en fonction des données de l’imagerie cérébrale et peut être employée comme alternative en cas de contre-indication à la thrombolyse.
Quels sont les facteurs de risque de l’AVC ?
On estime aujourd’hui que le risque d’AVC peut être réduit de 90% au travers du contrôle de ces facteurs de risque :
- hypertension artérielle,
- diabète,
- dyslipidémie,
- obésité,
- consommation de tabac
- alcool,
- alimentation et sédentarité.
- arythmie cardiaque par fibrillation atriale
« Parmi tous les facteurs de risque de l’AVC, c’est clairement l’hypertension qui domine les autres« , expose le Pr Mathieu Zuber, neurologue. Il est donc indispensable de surveiller sa tension artérielle régulièrement chez son médecin ou son pharmacien, de faire attention à ne pas trop saler son alimentation car le sel augmente la tension artérielle et limiter l’alcool qui élève aussi la tension. Les fumeurs ont deux fois plus de risque d’AVC que les non-fumeurs, le tabagisme étant associé à plus d’1 AVC sur 4. Un fumeur, quel que soit le nombre de cigarettes fumées, doit tout mettre en œuvre pour arrêter de fumer. Chez les femmes en particulier, il faut éviter la triade explosive « pilule, migraine, tabac« , rappelle le Pr Zuber. La fibrillation atriale, FA, est un trouble du rythme cardiaque le plus fréquent, et est lié à un risque 5 fois supérieur de faire un AVC.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.