A hypospermie Il s’agit d’un cas de faible volume de sperme lors de l’éjaculation et c’est l’une des circonstances les plus courantes associées à l’infertilité masculine. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le volume séminal normal doit être supérieur à 1,5 ml. Toutes les valeurs inférieures sont considérées comme anormales.

Mais savez-vous comment traiter cette condition?

Lisez notre article et comprenez les causes et le traitement approprié pour les personnes souffrant d’hypospermie. Vérifier!

Qu’est-ce que l’hypospermie ?

Incidemment, dans le processus d’éjaculation, la plus grande quantité de liquide séminal provient des vésicules séminales.

Différence entre aspermie, hypospermie et azoospermie

Les trois termes font référence à différents changements séminaux. Voir le concept de chacun d’eux :

Hypospermie: causes

Il existe plusieurs causes, conditions ou anomalies qui peuvent entraîner des modifications du volume de sperme, telles que des complications dans le système reproducteur masculin, des habitudes de vie, des malformations congénitales et autres.

Découvrez les principales causes ci-dessous :

Éjaculation rétrograde: le sperme se dirige vers la vessie lors de l’éjaculation;
Absence de vaisseaux séminaux et de canaux déférents : anomalie congénitale des organes génitaux masculins;
Obstruction du conduit éjaculateur (ODE): inflammation ou infection des canaux éjaculateurs, comme la prostatite et la varicocèle ;
Syndrome d’insensibilité aux androgènes (SIA) : c’est quand l’homme est résistant aux hormones mâles ;
Faible production de testostérone : anomalies hormonales;
Dysfonction érectile neurologique : perte d’influx nerveux voyageant à travers le pénis;
Éjaculation excessive : l’éjaculation répétée entraîne une diminution du volume de sperme;
Incision du col de la vessie (BNI): s’adresse aux hommes ayant des difficultés à uriner.

Facteurs de risque

Certains d’entre eux sont:

L’âge (le volume de sperme diminue à partir de 30 ans) ;
Abus d’alcool, de drogues et de cigarettes ;
Obésité;
Mode de vie malsain;
Les infections;
Facteurs environnementaux, tels que l’exposition au plomb ou aux radiations ;
traumatisme testiculaire;
Stress et problèmes psychologiques;
Diabète.

Hypospermie : comment traiter ?

L’hypospermie a un traitement et doit être effectuée selon l’évaluation d’un médecin. C’est à travers l’examen d’analyse du sperme, plus connu sous le nom de spermogramme, que le spécialiste indiquera la procédure pour chaque cas.

Le spermogramme vise à déterminer la couleur, la consistance, la densité, la composition chimique et la quantité de spermatozoïdes dans le sperme. Après les résultats du test, le médecin vous guidera vers le meilleur traitement.

Les types de traitements les plus populaires sont :

Stimulation rectale de la prostate lors des rapports sexuels (en cas d’hypospermie légère, sans causes associées) ;
En cas de processus infectieux ou inflammatoires, l’utilisation de médicaments qui améliorent l’état et augmentent les performances sexuelles est indiquée;
Le traitement chirurgical est indiqué pour les hommes qui souffrent d’éjaculation rétrograde, d’obstruction des canaux ou de problèmes de vessie ;
Dans les cas avancés d’hypospermie entraînant l’infertilité, il est recommandé de recourir à des traitements de procréation assistée, tels que l’insémination intra-utérine programmée, la fécondation in vitro ou l’injection intracytoplasmique de spermatozoïdes.

Départ:
désir sexuel

Prévention

Il n’existe aucun moyen spécifique de prévenir l’hypospermie.. Vérifiez-le:

Effectuer les traitements appropriés en cas d’infections du système reproducteur masculin ;
Maintenir un mode de vie sain;
Limitez la consommation d’alcool;
Diminuer l’habitude de fumer;
Essayez de réduire les niveaux de stress;
Contrôle glycémique ;
Bois de l’eau.

Il est extrêmement important de consulter un médecin spécialiste si vous souffrez de tout type de problème ou d’inconfort. Après tout, notre texte est simplement informatif et sans intention de prescrire des traitements médicaux ou de poser des diagnostics.